VOICI LES TRISTES AMBITIONS GOUVERNEMENTALES VIA CE PROJET DE LOI :
- Une volonté idéologique de réduire le service public au profit du secteur marchand.
- Un objectif purement comptable de suppression de postes.
- Un affaiblissement des droits des agents publics par le démantèlement des instances de dialogue social (CHSCT, CT et CAP). Cela ne peut apporter que iniquité et isolement dans la gestion des carrières, mais aussi une régression de la sécurité et des conditions de travail des agents.
- Une précarisation des agents publics, sans donner de perspectives de titularisation, par le recrutement de contractuels.
CELA SE TRADUIT À LA DGFIP :
- Par un vaste plan de suppressions d'emplois d'ici 2022 (de 15000 à 20000) que notre Direction Générale refuse de confirmer.
- Par la volonté d'externaliser certaines missions.
- Par une concentration du réseau et une nouvelle géographie des services dans tous les départements.
- Par une mobilité forcée avec des détachements d'office vers d'autres administrations ou entités de type « agences ».
- Par la mise en place d'une rémunération au mérite (RIFSEEP).
L'UNSA refuse la privatisation de la Fonction publique.
L'UNSA s'oppose à la rupture conventionnelle qui laisse l'agent seul face à l'employeur.
L'UNSA défend les CHSCT et les CAP actuels qui garantissent aux agents des droits collectifs de protection, de transparence et d'équité.
L'UNSA propose qu'un conseiller syndical mandaté par une organisation syndicale représentative puisse accompagner chaque agent dans ses démarches.
L'UNSA propose de donner des droits nouveaux aux agents comme le droit à la déconnexion.
AVEC L'UNSA, DÉFENDONS LE DROIT ET LA PROTECTION DES AGENTS PUBLICS ET DE LA DGFIP. MOBILISONS-NOUS MASSIVEMENT LE 9 MAI 2019 CONTRE LE PROJET DE TRANSFORMATION DE LA FONCTION PUBLIQUE.