Una audioconférence de courte durée dans l'attente d'éléments complémentaires à venir.
Concernant l’organisation de la campagne IR et les questions liées aux scolarités (recrutement, appel des listes complémentaires, fin des formations théoriques A et B, ...), l’administration a indiqué que nous en reparlerions en deuxième partie de semaine.
Le principal sujet abordé a été celui des congés pendant la période de confinement suite à la note de la DGAFP qui est en ligne sur notre site internet en « actualité fonctionnaires ».
Les agents en présentiel, en télétravail ou en ASA qui souhaitent prendre des congés pendant la période de confinement peuvent le faire mais les chefs de service doivent veiller à ce que les missions prioritaires soient remplies.
Les chefs de service ne doivent pas faire pression sur les agents en ASA garde d’enfants pour les obliger à faire garder leurs enfants dans les mêmes conditions que les agents des services sanitaires. Ce n’est qu’une possibilité offerte et en aucun cas une obligation.
Le Directeur général a demandé aux directeurs locaux de faire souffler les agents qui sont en PCA (plan de continuité de l’activité) depuis le début en faisant tourner les effectifs ou en trouvant d’autres solutions (étalement de la charge de travail, report sur des agents en télétravail, appel à des agents d’autres services, …) quand c’est possible. Le confinement n’est pas terminé et la DGFiP aura besoin de tout le monde quand l’activité reprendra.
Nous avons fait remonter que des agents se plaignaient des différences de traitement suivant la position des agents (ASA, présentiel, télétravail) et qu’il fallait prévenir les tensions que ces situations pourraient générer lors de la sortie de crise.
Concernant les cas particuliers des agents à temps partiel thérapeutique ou en congé de longue maladie : l’évolution de leur situation est liée à la tenue d’une commission médicale. Tant que celle-ci ne se réunit pas les agents conservent leurs droits actuels.